Une fois arrivé en ville, j'accouru dans un de ces centres commercial avec dix-milles boutique mais seulement dix d'intéressante pour le commun des mortelles. Je voulais m'habiller plus proprement car après tout ce trajet (un bout fait sous forme lupine mais un bout fait sous forme humaine), je devais bien avoir l'air d'un SDF dans le coin. Quoi qu'être défringué était à la mode de nos jours... Ce n'était pas du tout mon genre.

Lorsque je rentrai dans la boutique j'aperçu tout de suite les "vendeuses" qui n'était en réalité que de jeunes adolescentes à la recherche d'une femme à enquiquiner. Puis en me dirigeant vers la section homme je vis une femme penché (ou plutôt ses fesses et ses jambes). Elle semblait avoir échappé un truc important. Je me précipitai vers elle pour l'aider en toute altruisme. J'avais pour habitude d'aider les gens qui en avait besoin. Je me dis à moi même que si sa voix était aussi jolie que ce que j'avais vue de ses formes, le merci dont elle m'honorerait allait faire ma journée. Rien de plus.

-Pardonnez moi mais pourrais-je vous aidez ? 

Je réalisai ensuite que j'avais encore sur moi le look " trop pauvre pour les années 90' " et je fus immédiatement envahi de gêne devant la magnifique femme qui était sous mes yeux et son élégance naturelle. Son odeur était particulière je devais bien me l'admettre néanmoins.

-Ça arrive souvent de croire que l'on a perdu quelque chose pour ensuite se rendre compte que nous sommes simplement quelqu'un de très égaré.

Je regardai chacun de ses gestes. J'avais pour habitude d'analyser les gens. J'avais appris à vivre ainsi. Parfois savoir ce que les gens penses peux aider. Décidément la fille sous mes yeux m'intimidait de par sa beauté et sa voix... je n'osais même pas y repenser ! Cette femme me captivait et malgré ma gêne, je prenais mon courage à deux mains pour avoir une conversation avec elle. Sa gêne était d'un charme sans nom. Son petit rire coquin me mit le sourire au visage immédiatement.

-Je m'excuse de ma piètre apparence très chère mais j'ai fait un long voyage, je remarque chez vous une magnifique élégance naturelle. Je suis un peu gêné de demander mais... Pourriez-vous m'aider à acheter de quoi me vêtir ? Je sais que ça ne doit pas être la même chose que d'acheter des fringues pour filles mais je vous demandes quand même !

-Macelina ? On dirait un nom d'une autre époque ! C'est charmant quoi qu'il en soit ! Pour ce qui est de mes vêtements qui manquent à l'appel, j'espère que la vue ne vous es pas trop désagréable car j'en serais affreusement gêné voir même honteux ! Quoi qu'il en soit, je suis très honoré et heureux de faire de votre rencontre.

Seigneur ! Ses fesses avaient été une magnifique vue pour mes yeux mais maintenant que je la regardais dans les yeux, son sourire et ses yeux me laissaient quasiment sans voix. Décidément, elle avait un petit quelque chose qui n'était pas humain. Son odeur particulière me tourmentait un peu. Était-elle une vampire ? Je n'en avais jamais croisé auparavant mais chose certaines, elle m'apparaissait charmante et gentille pour une créature que l'on décrivait comme étant "des monstres assoiffés de sang". Une fois arrivé devant des fringues, je plaçai un chandail devant mon torse et demanda simplement "es-ce que ça me va bien ? "

Je lui offris un sourire. Macelina était d'une élégance telle que l'on aurait pu la confondre pour une reine à l'époque ou elles régnaient encore !

-Plus chaud ? J'y tiens pas vraiment pour être honnête. Je suis plutôt le genre à me promener en tenue légère car mon corps produit beaucoup de chaleur, c'est ainsi.

Marcelina était elle aussi une source de chaleur mais dans un sens beaucoup plus imagé. J'avais beaucoup de difficulté à la regarder sans rougir. Lorsque je réalisai que je l'avais faite rougir, j'en fût flatté. J'espérais que j'allais avoir le courage de lui demander à sortir et à se revoir. Bien sure je ne me l'imaginais pas dans mon lit ou un truc du genre...(surtout que j'ignorais pour le moment ou j'allais bien pouvoir dormir) néanmoins je me surpris à penser que les hommes qui avaient eu ce privilège n'était rien d'autre que des chanceux.

Se payer un chandail n'avait pas pris grand temps à acheter mais j'allais devoir me payer des pantalons par la suite. J'en pris quelques uns avant de me diriger vers la cabine d'essaye puis je sortis la tête de la cabine pour ensuite demander à celle-ci de rentrer dans la cabine pour me donner son avis.

- Je m'excuse de t'infliger une telle chose... Voir un pure inconnu en sous-vêtement ne devait pas être dans tes projets lorsque tu es venu dans ce magasin

-Mon prénom ? C'est Samael. Ça signifie en Latin "Le Poison de dieu". Ma mère était très croyante. Oui je sais qu'un tel prénom est idiot pour quelqu'un qui croit en dieu mais ma mère disait que dieu devait être une femme. Je trouve son raisonnement assez juste considérant que les femmes sont souvent plus artiste que les hommes et donc meilleur pour ce qui attrait à la création...

Lorsque je regardai le pull qu'elle m'avait présenté, je me dis "et puis après tout pourquoi pas !"

-J'avais oublié la règle numéro un : Les femmes ont toujours raison ! Alors je vais acheter ce pull finalement. Tu as raison je ne suis pas d'ici mais plutôt d'hongrie mais le climat est sensiblement le même !

Lorsque je me retrouva face à elle dans la cabine d'essayage, je rougie en la voyant de si près. Lorsque je posai ma main sur la sienne, je la regardai étonné.

-J'avais déjà rencontré plusieurs femmes avec des problèmes de circulation mais dans ton cas, on dirait carrément que le sang ne circule plus !

Je déposai un baisé sur sa main par galanterie et ensuite je lui offrit un câlin pour la réchauffer alors que j'étais encore en sous-vêtements. J'enfilai par la suite un pantalon pour lui demander ce qu'elle en pensait.

-Une maladie ? Quelle genre de maladie ? Tu pourrais me transmettre ce truc ? J'espère que non car je n'y tiens pas pour être honnête.

Suite au long câlin échangé, je perçu sur ses lèvres un peu de sang qui dégouttait.

-Je...euh...C'est quoi le sang sur tes lèvres ? Tu t'es mordu ou quoi ? J'ai fais un truc qu'il ne fallait pas et qui t'as mise mal à l'aise dit moi ? Si oui, je tiens à m'en excuser d'avance !


Lorsqu'elle m'offrit un de ses magnifique sourire, je lui rendis. Je réalisai qu'il s'agissait d'une manière de dissimuler quelque chose,un certain malaise. Pourtant jolie comme elle était, ce ne devait pas être mon corps qui la mettait si mal à l'aise.

-Marcelina...Es-ce que je te met mal à l'aise ? Je tiens à m'excuser. Je voudrais t'inviter à boire un verre après que nous ayons terminé ce que nous avons à faire. Si tu préfère on peut aller manger un morceau, c'est comme tu veux.


Lorsqu'elle m'annonça que mon pantalon me faisait bien j'en pris deux identiques

-C'est pas tout les jours que j'ai la chance de recevoir autant de compliment en moins d'une heure de la part d'une si jolie fille que toi chère Marcelina. Toi après tu auras des trucs à acheter non ? Enfin je veux dire tu n'es pas venu ici pour acheter des choses toi ? 

Je remarquais un malaise grandissant en elle et je n'étais pas capable de me l'expliquer. Était t-elle agoraphobe ou bien était-ce la proximité entre elle et moi qui la dérangeait tant ? La tête me tournait rien qu'à imaginer ce que je pouvais bien avoir fait de mal. Lorsqu'elle me demandais si je tenais à faire un tour dans la section des femmes, je lui souris comme un gamin.

-Avec toi ? N'importe quand ! Si ça peux te faire plaisir, je suis partant à cent pourcent ! Je ne suis pas contre moi non plus ! On est pas ici que pour moi tu sais... 

Lorsqu'elle fit un commentaire sur le fait que je devrais plutôt prendre deux couleurs différentes, je me tournai vers elle un sourire aux lèvres.

-La règle numéro un !
dit-je en rigolant avant de prendre un deuxième pantalon de modèle identique mais de couleur différente. Une fois mes fringues acheté, je me dirigeai avec elle vers la section féminine. Cette section m'ennuyait habituellement mais vue la femme que j'avais sous les yeux, chaque morceau de linge me donnait envie de lui dire " essaie ce morceau je suis sure que tu seras canon à l'intérieur" 

-Alors ? Que choisira la jolie reine ?

-Oui la jolie reine Marcelina car tu es une reine de beauté. Désolé j'ai pensé tout haut je recommencerai plus c'est promis !

Lorsqu'elle prit une robe des plus élégante je lui souris lorsqu'elle se retourna avec son sourire de gamine excité 

- Si ça m'aurait dérangé, je ne t'aurais pas donné mon accord pour qu'on vienne faire un tour ici n'es-ce pas ? Allé ! Court essayé cette superbe robe qui ne le sera qu'encore plus lorsque tu la portera j'en suis sure !


Lorsqu'elle entrai dans la cabine je ne trouvai pas le courage d'y entrer aussi alors je me contentai de regarder les tenues aux alentours en me disant que la plupart lui aurait fait comme un gant alors que d'autre semblaient simplement avoir été tissé pour ces femmes qui n'avaient aucun gout esthétique. Par exemple ces robes brune à pois que l'on voyait parfois dans les magasins mais jamais dans les rues ou encore ces chemise "hawaïenne" qu'on voyait parfois dans la section pour homme. Je me surpris à regarder le peu que je pouvais entrevoir de cette chère Marcelina. Je murmurais la pensé qui me traversa lorsque je la vis de loin "Tu es un ange tombé sur terre". Lorsque je commencai à trouver qu'elle prenait son temps je m'approchai de sa cabine et cognai contre la porte "Ça va ? Ou peut-être que tu as de la difficulté avec une fermeture éclair ou je sais pas trop..."

Lorsqu'elle me fit un compliment en me disant que j'étais charmeur avec les filles et en me demandant si je l'avais toujours été, je lui souris.

-Ma mère m'a apprise très jeune la valeur des femmes dans notre société... J'imagine que ça explique pourquoi j'aime autant les femmes. D'habitude je ne fais que quelques compliments mais toi... Je ne sais pas pourquoi mais je peux pas m'en empêcher tu es différente des autres.

 Je n'étais pas un dragueur mais simplement un homme qui adorait faire plaisir aux gens et particulièrement aux femmes. Lorsque je m'approchai craintivement de la cabine et que je lui demandai si elle avait besoin d'aide, je fus à la fois agréablement surpris et à la fois inquiet. Je rentrai donc à l'intérieur. Naturellement je m'étais inquiété pour un rien mais j'étais néanmoins content de pouvoir l'aider. Je rigolai en l'entendant dire "J'ai besoin de toi"

-C'est toujours plaisant pour un homme d'entendre une telle chose sortir de la bouche d'une aussi belle femme. Naturellement que je vais t'aider belle reine !


Je me plaçai immédiatement derrière elle. Je plaçai une main sur sa taille en appui et l'autre sur sa fermeture éclair. Mon regard analysa en une seconde ses formes mais lorsqu'elle me parla, je la regardai à travers le miroir. Je lui fis un petit clin d'oeil simplement dans l'espoir de la voir rougir de nouveau. Je montai sa fermeture éclair sans peine.

-Au moins elle ne sera pas coincé cette robe 
lui dit-je un sourire aux lèvres. Une fois totalement enfilé, je posai ma deuxième main à sa taille et ma tête par dessus son épaule et admira le reflet de la belle

-Wooooow
ce wow était dit à voix basse et prolongé et remplit de douceur dans la voix.

les valeurs de notre societé...voila une chose qui me faisait rire puisque j'avais ce moment ou les femmes etaient immode, je m'etais battue aux cotés d'autre femmes pour avoir les memes droit que les hommes comme l'avait fait Robesspierre a mon epoque. Alors l'entenfre dire quon lui avait inculqué de bellez bases cela me rejouissait. 

des qu'il arriva dans la cabine, la chaleur etait revenue. Samael remontant ma fermeture eclair, des frissons me parcourraient le corps...voila des annees qu'un homme ne m'avait pas fait cet effet. puis ses mains chaudes sur ma taille...en fait, j'Etais aux ange. le regardant par lz glace, je lui fis un sourire.

-merci...

Lorsqu'elle dit merci, je lui souris de plus belle. J'étais content de la savoir heureuse. Je la vis ensuite rougir ce qui réchauffa mon coeur puis, ses yeux changèrent mais je ne pu qu'entre-voir le changement avant de la voir baisser la tête comme si elle était gênée ou même honteuse. Je relevai doucement son menton afin de voir ses yeux à nouveau. Elle était belle même si ses yeux étaient différent. Néanmoins elle restait une reine à mes yeux.

-Qu'es-ce que tu as ? Dit moi le s'il te plait... Je t'assure qu'il n'y a pas de mal à mes yeux. J'aimerais simplement savoir la vérité.


Une fois son visage relevé, je vis que ses joues étaient toujours aussi rouge alors je m'empressai d'y déposer un baisé avant que cela ne disparaisse. Ses joues rougie étaient magnifique c'était sans contredit.

-Ces yeux te rendent particulière et ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre crois moi. Explique moi pourquoi tu sembles si mal à l'aise dès que nous sommes que toi et moi dans la même pièce. Serais-tu agoraphobe ou un truc du genre ? Explique moi pour tes beau yeux, c'est quoi cette maladie.

Son charme naturel n'avait rien à voir avec sa véritable nature. Cela aidait surement c'était certains mais pour ma part c'était elle que je trouvais si belle. Je ne savais pas comment lui dire que j'étais un loup mais certes lorsqu'elle me dirait la vérité en premier je n'allais pas avoir le choix. J'étais si bien tombé, deuxième rencontre faite dans cette ville et il s'agissait d'une non-humaine.

-Non non non ! Te faufile pas ma belle reine ! J'ai demandé avant ! Tu dois donc répondre avant.

Je commençais à comprendre qu'elle était une espèce de vampire. Simplement je n'y connaissais pas grand chose et j'avais toujours entendu parler que les vampires ne se nourrissaient que d'humains et non de créature comme moi. Soudainement, je déposai le plus délicatement du monde un baisé à sa joue comme auparavant. Simplement, cette fois sans que je ne m'en rendes compte, mes lèvres glissèrent aux siennes. J'ouvris les yeux pour réaliser que la pose que nous partagions avait tout d'une pose romantique. Je me mis immédiatement à rougir.

-Je...euh...désolé. C'est simplement que... Je n'arrive pas à te résister belle reine...

dis-je les joues plus rouge que jamais.

Elle me rassura rapidement en me disant qu'elle en avait envie elle aussi. Je lui souris donc pour lui faire comprendre que malgré la gêne occasionnée, j'avais grandement apprécié avoir la chance de goutter ses jolies lèvres.

-Marcelina, il y a longtemps que je l'ai compris mais je me demande simplement quelle genre de déesse peut se retrouver aussi mal à l'aise dans des endroits clos. Chaque fois que nous avons un contact, aussi minime soit-il tu sembles paniqué. Serais-tu une vampire ou un truc du genre ? Explique moi s'il te plait.

Je la vis se mordre la lèvre de nouveau et ne fût par surpris qu'elle m'éloigne d'elle mais je demandais néanmoins des explications. Puis, elle en vint au "tu devrais partir...". Je sentais qu'elle me demandait cela à contre coeur mais de toute façon je n'en avais pas réellement envie de lui obéir cette fois.

-Je n'en ai pas envie... Pas tant que tu ne m'auras pas expliqué... Je ne partirai pas non plus avant d'avoir eu la chance de passer cette fameuse soirée avec toi. Je t'ai déjà demandé après tout non ?